Vos missions :
Vous aurez la responsabilité de plusieurs marques sur des aires thérapeutiques variées :
Sur le plan stratégique :
Sur le plan opérationnel :
En complément, vous serez également impliqués sur :
Votre profil :
Vous avez un profil scientifique, idéalement avec une double compétence marketing. Vous êtes diplômé d’une école d’ingénieur Agro / Biologie / d’un master dans le domaine de la santé et vous disposez impérativement de 2 à 3 ans d’expérience dans le marketing des produits de santé.
Vous avez de fortes compétences analytiques et organisationnelles. Vous êtes force de proposition et aimez les responsabilités. Vous savez faire preuve de créativité et d’innovation. Vous avez une appétence pour le digital et le multicanal. Vous recherchez un cadre de travail agréable, une équipe à taille humaine et la possibilité de gérer un projet de A à Z.
Nos conditions :
• CDI à pourvoir dès avril 2023
• Rémunération fixe + 25% variable sur objectifs
Poste basé à Paris – quartier Bourse/Opéra
Pour candidater : envoyer CV et lettre de motivation à l’adresse recrutement@secondstagepharma.com.
Délivrabilité
Le domaine d’expédition d’un emailing dispose d’une « réputation » numérique, analysée par la boite email des destinataires. Un domaine expédiant des emailings, régulièrement indiqués comme des spams par ses destinataires verra sa réputation très dégradée et ses prochains envois bloqués ou passés en spam automatiquement.
Attention : un domaine d’expédition non utilisé pendant plusieurs semaines perd sa réputation. S’il est brutalement réutilisé, par exemple après les vacances d’été, pour un envoi de quelques milliers de destinataires, ses communications risquent d’être bloquées par les boites email des destinataires. Pour une telle reprise, il faut donc « chauffer son adresse IP » en faisant l’envoi de cet emailing par « petits paquets » successifs.
De plus, les paramètres techniques (signature DKIM, enregistrement SPF) de ces domaines doivent être correctement configurés : ils sont inspectés par les boites email des destinataires. Les liens qui pointent vers les images intégrées à l’emailing doivent, si possible, reprendre le nom du domaine d’expédition. Pour l’ensemble de ces aspects, les outils d’envoi d’emailings proposent leur accompagnement.
Moment de l’envoi de l’emailing
Il doit être réfléchi (jour de la semaine et heure) et testé de façon à ce que l’emailing apparaisse en tête de liste au moment où les destinataires prennent connaissance de leurs messages. Il est par exemple judicieux d’envoyer à deux moments adéquats un emailing décliné pour des médecins et pour des pharmaciens car ils ne consultent pas leurs emails au même moment.
Pour chaque emailing, il faut connaitre : taux d’ouverture et de clic mais aussi de eNPAI et de désabonnement et les comparer à ses benchmarks.
Depuis 2021, les supports Apple donnent la possibilité à leurs utilisateurs de s’opposer à la remontée d’informations ; une partie croissante des ouvreurs des emails n’est donc plus repérable et ne peut être qu’estimée.
Actuellement, voici nos benchmarks (hors estimations des ouvreurs non traçables), envoi et renvoi compilés :
|
Taux ouverture |
Taux clic |
Med. généralistes |
15% – 25% |
2% – 7% |
Spécialistes |
20% – 35% |
10% – 30% |
Pharmaciens |
30% – 45% |
3% – 8% |
Chez Second Stage Pharma, nous avons l’habitude de renvoyer un emailing aux destinataires de l’envoi initial qui ne l’ont pas ouvert. Au préalable, nous modifions son objet et son préheader.
Faire un emailing selon les règles de l’art c’est bien. Mais chez Second Stage Pharma, dans le cadre de nos mix, nous veillons surtout à concevoir un ensemble d’emailings cohérents les uns avec les autres selon un fil rouge en lien avec la pratique quotidienne des professionnels de santé ciblés.
Le principe étant que l’intérêt pour un emailing en suscite un au moins équivalent pour les emailings suivants.
Ainsi, nous analysons le nombre de nouveaux professionnels de santé que chaque nouvel emailing a fait réagir en tentant de comprendre leurs attentes. Par exemple, il nous est apparu que les attentes des pharmaciens étaient plus concrètes (comme des fiches à télécharger) et celles des médecins plus scientifiques (parfaire leurs connaissances, disposer d’une veille scientifique).
Qui sommes-nous ?
Second Stage Pharma est un laboratoire pharmaceutique, expert de la promotion à distance des médicaments. En partenariat avec de grands groupes pharmaceutiques (Johnson & Johnson, Sanofi, AstraZeneca, …), nous mettons en œuvre des approches originales et personnalisées pour accompagner les médecins, dentistes et pharmaciens dans leur pratique au quotidien.
Vos missions :
Sur l’ensemble de votre stage, vous mènerez les missions suivantes, pour au moins une marque :
Sur le plan opérationnel :
Sur le plan stratégique :
En complément, selon votre appropriation de ces missions et la qualité de votre délivré, vous pourrez participer à :
Votre profil :
Vous avez un bac +5 en cours, orientation scientifique (école d’ingénieur, master…). Vous avez de fortes compétences analytiques et organisationnelles et une sensibilité pour la biologie humaine. Vous êtes force de proposition. Vous savez faire preuve de créativité et aimez travailler en équipe.
Nos conditions :
Pour candidater : envoyer votre CV à recrutement@secondstagepharma.com
ou sur LinkedIn :
C’est une opération de prise de contacts avec des professionnels de santé (« Pds ») par des téléopérateurs pour le compte d’un laboratoire.
Il ne s’agit pas de visites à distance : les téléopérateurs n’évoquent pas un médicament mais une aire thérapeutique. L’appel téléphonique a pour but de proposer aux professionnels de santé des services utiles pour leur pratique et se rapportant à cette aire. Et, en cas d’acceptation des services proposés, le contact téléphonique se double d’un emailing de confirmation.
Un tel phoning s’inscrit dans le cadre d’un mix omnicanal, pour valoriser ce mix et créer un contact personnel avec le Pds.
Exemple d’un phoning réalisé en mai 2022 par Second Stage Pharma :
L’organisation est plus légère que dans un phoning promotionnel : pas de prise de rdv préalable ni d’envoi à l’avance des supports de visite. L’intérêt pour les Pds est la possibilité de recevoir des services utiles pour leur pratique ou pour leurs patients, en leur permettant de les sélectionner parmi plusieurs proposés.
Enfin, l’échange est court et dans les deux sens : nous les incitons à exprimer leurs éventuelles attentes et remarques.
1. Une bonne préparation
2. Un suivi qualitatif et quantitatif quotidien
3. Un bon suivi post-phoning
Paru en 2018, le « Rapport sur l’amélioration de l’information des usagers et des professionnels de santé sur le médicament* » de la mission demandée par la ministre de la Santé, propose des pistes pour améliorer l’information des patients et des professionnels de santé.
• Côté médecins :
Les médecins disposent d’un temps limité en consultation, c’est pourquoi ils ont besoin :
• d’outils d’aide à la pratique comme des fiches « bonnes pratiques », brèves et synthétiques, mobilisables en consultation ;
• d’outils d’aide à la compréhension du patient, comme par exemple, la création d’un glossaire permettant de traduire en langage courant les effets indésirables figurant sur les notices ;
• d’informations sur le partage de responsabilité entre médecins mais également entre médecins et pharmaciens.
• Côté pharmaciens :
Le comptoir n’est pas un lieu propice à un échange poussé (lieu public, posture debout…), c’est pourquoi, pour améliorer l’information des patients, les pharmaciens peuvent :
• remettre systématiquement un document d’information lors de la première délivrance d’un traitement long qui permet au patient, à tête reposée, d’avoir une information complémentaire à la notice, pas toujours facile à comprendre ;
• mettre en place des dispositifs d’accompagnement des patients comme des bilans de médication qui seraient partagés, avec l’accord du patient, avec le médecin traitant via le DMP ou des fiches de suivi pour le patient et son médecin traitant. Ces bilans de médication permettent d’éviter les interactions médicamenteuses et d’améliorer l’observance des patients polymédiqués.
L’expérience de Second Stage Pharma confirme ces conclusions. En effet parmi un ensemble de service proposés aux professionnels de santé (magazine, webconférence, fiches mémo patient, … ) ceux-ci préfèrent les outils simples et didactiques ancrés dans leur pratique comme les fiches synthétisant les éléments clés du diagnostic pour les médecins ou les fiches-mémo d’aide au bon usage pour les pharmaciens.
* Pour accéder au « RAPPORT SUR L’AMÉLIORATION DE L’INFORMATION DES USAGERS ET DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ SUR LE MÉDICAMENT », mission présidée par Dr Gérald Kierzek et Magali Leo et composée de Henri Bergeron, Lucas Beurton-Couraud, Dr Béatrice Clairaz-Mahiou et Corinne Devos avec l’appui de Sara-Lou Gerber et Dorothée Pradines, cliquez ici.